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Livre d'Or - Comments

La danse invisible à l'œil nu

L'œil de Denis détache la danse du spectacle de la danse.
Il isole le mouvement du moment de la danse.
Il prend en charge un récit secret qui se trouve, caché dans les plis de l'histoire qui est dansée.
Dans son propos, le photographe raconte la même élégance déchirée des sentiments, la même gravité du poids des vies sur terre, la même abondance de bonheur dans les rêves des hommes.
Il dit, en fait, la même histoire que la danse.
Mais il va plus vite que la danse, il va à la rencontre de chaque geste.
Il n'a pas le temps de phraser, aussi il saisit des mots, entre les lèvres, dans une bouche ouverte.
Il rattrape un saut entre une silhouette nette et un corps flou.
Il affirme une opinion personnelle sur le sujet dont débattent les corps qui dansent.
Il s'engage, s'incruste et squatte l'espace de la danse a l'insu de tous.
De cette planque, il décrit la danse que les spectateurs ne voient pas mais que les danseurs dansent bel et bien pour eux.
Son récit se propose hors de la scène, en l'absence du spectacle, sur le territoire intime du désir et de l'amour.
Désir de la danse, amour du corps.
Sans décor.
Sans musique.
Seulement le froufrou d'une robe qui roule le long d'un corps qui tombe... Le bruit d'un cœur qui respire d'un chagrin sans fin.  
Le poids d'un regard qui dialogue avec deux yeux vides.

Dans les images que nous offre Denis Rion, les corps claquent dans la danse comme des flammes et les mouvements volent, dans le cadre, comme des ombres.
Arrimés à ces morceaux inconnus de danses bien ferrées, il nous importe peu de reconnaître les corps qui dansent car c'est tout le souvenir du spectacle qui remonte en notre mémoire.
Alors, d'une séquence à l'autre, tout se reconstruit lentement.
On revoit la scène, les décors et les lumières.
On entend la musique, les silences et les applaudissements.
Devant chaque image, la scène recommence et tout le reste nous enchante.

Chab Touré

Galeriste et professeur d'esthétique
Bamako - Mali


 

Denis RION, chasseur d'émotion, fustige le mouvement pour nous la renvoyer en images fortes et intenses

 

Kettly Noël, chorégraphe, directrice artistique du festival "Danse Bamako Dense"  Bamako, Mali

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" C'est une affaire de corps, de vie, d'amour, de lumière..."

Denis RION nous donne à vivre au travers de ces clichés, ces instants de corps qui respirent l'énergie fébrile, subtile, fugace, tonitruante de la danse.

 

Norma Claire, chorégraphe, directrice artistique du festival "Rencontres de Danses Métisses" - Cayenne, Guyane Française

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Denis RION, l'homme qui danse avec son appareil photo.

 

Vincent Harisdo, chorégraphe, directeur artistique du festival "Festival des Divinités Noires" - Lomé, Ahéno, Togo

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Denis Rion photographie avec la sensibilité d'une femme, l'oeil aigu d'un aigle, la force d'un homme et l'émerveillement d'un enfant.

 

Cristina Santtuci, danseuse, chorégraphe, directrice artistique de la Cie Artopie - France

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Denis RION, homme d'une richesse intérieure inépuisable, source de vie et de joie.

Sa photo exprime la magie du corps en mouvement dans un univers poétique, fort, éternel

 

Gaby Saranouffi, chorégraphe, directrice artistique du Festival "I'Trotra" Tananarive, Madagascar

 

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En plus d'un regard juste et sensible sur le mouvement, Denis RION, vu son expérience en "Lumières", met en valeur le travail de l'éclairagiste.

Il saisit, au plus près, les contrastes, les nuances colorées, les volumes, le tout teinté de l'émotion du moment si particulière aux spectacles vivants.

 

Erick Plaza Cochet, scénographe, chorégraphe, costumier, éclairagiste

 

 

 

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